Vigie Nuisance Bois de Champory. l'association contre l'industrialisation forcée des Bois de Champory pour alimenter en gaz de Methane la bulle tropicale du Center Parc et du Groupe Pierre et Vacance. Celà avec la complicité active du Conseil Générale de la Vienne , de la Comunautée de Comunes du Pays Loudunais, du Consil régional Poitou-Charentes, de la Commune de Trois Moutiers.
www.Vigie.Nuisances.free.fr Vigie Nuisance Bois de Champory. l'association contre l'industrialisation forcée des Bois de Champory pour alimenter en gaz de Methane la bulle tropicale du Center Parc et du Groupe Pierre et Vacance. Celà avec la complicité active du Conseil Générale de la Vienne , de la Comunautée de Comunes du Pays Loudunais, du Consil régional Poitou-Charentes, de la Commune de Trois Moutiers.
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Champory, un coin de paradis en sursis

REVUE DE PRESSE

Des banderoles ont été déployées dans les bois de Champory.Contre l'usine de méthanisation

(Copie du texte de l'article de la Nouvelle République
 du mardi 18 juin 2014)

Les habitants de Glénouze sont courroucés. « Nous avons pu découvrir dans la presse (notre édition du 23 mai) la délibération de la commune des Trois-Moutiers : le conseil municipal vote contre l'implantation de l'usine à gaz sur sa commune avec pour argument une voirie inadaptée et les nuisances pour ses riverains. Près des bois de Curçay-sur-Dive, plusieurs hameaux se trouvent sur la commune de Glénouze, Mignac, Les Vaux-Sainte-Marie, Petite-Fête, Grande-Fête, Jalnay, Panthenay, La Bruyère, où se trouve un atelier de création de décor, et Champory, avec la doyenne du village et toute sa famille et un couple qui vient d'acquérir une habitation et installe son atelier d'artiste. Pour finir, le lieu-dit de Sèmechoux, qui est le plus proche avec une production de fromage fermier, ouvrant ses portes au public par le biais d'un marché de producteurs et d'autres activités qui sont prévues. Alors, qui sommes-nous ? De quelle population faisons-nous partie ? Nous sommes discriminés, bafoués, nous n'existons pas », pestent-ils dans un communiqué. Et de poursuivre. « Quelques jours plus tard, un nouvel article (notre édition du 6 juin) : la municipalité de Loudun dénonce et reconnaît que ce projet n'est adapté ni à Loudun, ni ailleurs. Notre colère s'accroît de ces propos. La dévalorisation de nos biens et celle de nos activités professionnelles sont garanties par les arguments apportés par les élus de ces deux municipalités. La commune de Glénouze subira-t-elle aussi une dévalorisation de manière certaine. Comment peut-on continuer des activités économiques si le secteur est pollué par une usine à gaz ? Comment peut-on accepter un tel projet près de chez soi ? Nous comprenons, après ces arguments, que celui-ci doit être dissimulé. Les élus dans leur ensemble n'en veulent pas sur leur commune ! Center Parcs n'en veut pas à proximité ! Les agriculteurs porteurs du projet n'en veulent pas sur leurs terres ! Alors pourquoi nous ? »


Contre l'usine de méthanisation

(Copie du texte de l'article de la Nouvelle République
 du mardi 18 juin 2014)

Les habitants de Glénouze sont courroucés. « Nous avons pu découvrir dans la presse (notre édition du 23 mai) la délibération de la commune des Trois-Moutiers : le conseil municipal vote contre l'implantation de l'usine à gaz sur sa commune avec pour argument une voirie inadaptée et les nuisances pour ses riverains. Près des bois de Curçay-sur-Dive, plusieurs hameaux se trouvent sur la commune de Glénouze, Mignac, Les Vaux-Sainte-Marie, Petite-Fête, Grande-Fête, Jalnay, Panthenay, La Bruyère, où se trouve un atelier de création de décor, et Champory, avec la doyenne du village et toute sa famille et un couple qui vient d'acquérir une habitation et installe son atelier d'artiste. Pour finir, le lieu-dit de Sèmechoux, qui est le plus proche avec une production de fromage fermier, ouvrant ses portes au public par le biais d'un marché de producteurs et d'autres activités qui sont prévues. Alors, qui sommes-nous ? De quelle population faisons-nous partie ? Nous sommes discriminés, bafoués, nous n'existons pas », pestent-ils dans un communiqué. Et de poursuivre. « Quelques jours plus tard, un nouvel article (notre édition du 6 juin) : la municipalité de Loudun dénonce et reconnaît que ce projet n'est adapté ni à Loudun, ni ailleurs. Notre colère s'accroît de ces propos. La dévalorisation de nos biens et celle de nos activités professionnelles sont garanties par les arguments apportés par les élus de ces deux municipalités. La commune de Glénouze subira-t-elle aussi une dévalorisation de manière certaine. Comment peut-on continuer des activités économiques si le secteur est pollué par une usine à gaz ? Comment peut-on accepter un tel projet près de chez soi ? Nous comprenons, après ces arguments, que celui-ci doit être dissimulé. Les élus dans leur ensemble n'en veulent pas sur leur commune ! Center Parcs n'en veut pas à proximité ! Les agriculteurs porteurs du projet n'en veulent pas sur leurs terres ! Alors pourquoi nous ? »